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Col de la Traversette

by François

Nouvelle journée randonnée, on prend le camion pour quelques kilomètre pour se garer au parking de la roche écroulée en fond de vallée. La route pour y accéder est pas mal chaotique sur la fin. Un petit sentier dans une forêt de mélèzes nous emmène jusqu’au pré Michel, d’où le Mont Viso se dévoile en toile de fond.

Ça continue jusqu’au belvédère du Viso d’où on ne peut toujours pas le manquer.

On grimpe ensuite sur la gauche, laissant le refuge sur notre droite. Une petit famille de chamois est bien installée dans les rochers. De mon côté, j’ai chaud !

Arrivée au Buco di Viso : un tunnel reliant la France à l’Italie, juste sous le col. Il a été bien rénové : je tiens debout et le plafond a été bétonné, alors qu’il y avait des passages à 1m30 avant. Un peu bizarre de marcher là-dedans, je ne suis pas forcément à mon aise et bien content de sortir de l’autre côté.

Une fois traversé, on débouche en Italie. Une courte descente pour trouver un replat qui nous permet de manger chez nos voisins face au Viso. Les tracés GR sont bien mieux marqués ici que chez nous, et il y a plus de monde de ce côté du col.

Après cette petite pause, on monte au niveau du col de la Traversette par le côté italien.

On redescend côté français, reprenant le sentier de la montée, avant de filer jusqu’au refuge du Viso. Les toilettes ne sont pas en flanc de falaise mais c’est une étrange sensation dedans, pas serein le François. On en profite pour faire le plein d’eau à la source.

Petit tour vers le lac Lestio duquel le Guil prend sa source. Beau point de vue et moment de repos, agrémenté de quelques tests photographiques.

Le retour jusqu’au belvédère s’effectue en longeant le Guil ce coup-ci, le tracé est assez plaisant.

Retour au belvédère. Un bon gros troupeau de vaches nous attend plus loin sur le sentier, et un abri semble avoir pris un mauvais coup de vent / avalanche ? On file jusqu’au parking en passant par la piste pour mettre les jambes en mode automatique, je suis lessivé. Je n’ai plus de jambe ni de pieds en arrivant au camion, on y prend un goûter bien mérité.

On fait un passage rapide à Abriès pour que je m’y achète des gourdes supplémentaires, plus 3 emplettes à la supérette. En passant, vérification des horaires des remontées mécaniques pour le lendemain, puis retour au camping pour  prendre une bonne douche chaude et se poser. La fin de la soirée se fera posés dans les fauteuils à lire à la lumière des frontales face au ciel qui s’obscurcit sur les montagnes.

Tracé de la sortie

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